mercredi 22 novembre 2006

Frustration...s de la semaine!

N’habitant pas en région et ayant plusieurs librairies près de chez moi, je m’étonne toujours de devoir en visiter plusieurs avant de trouver ce que je cherche ! C’est bien de mettre les nouveautés en avant, de faire d’énormes piles des meilleurs vendeurs, mais que fait-on des auteurs moins connus ou des classiques maintenant introuvables : Pagnol, Proust, Mahfouz, Voltaire, etc. On peut toujours se rabattre sur les bibliothèques publiques, mais quand on a envie de les posséder ? On vous offre de les commander, mais la période d’attente est parfois très longue… Et je sais que les marchands de livres usagés ont souvent ces exemplaires en multiples copies, mais c’est souvent tout jaune et parfumé à la nicotine ! Non, merci !

Bah ! J’arrête de râler, mais ça fait du bien d’en parler …

Autre frustration : j’ai raté mes boulettes aux champignons ! C’est Antonio qui va râler maintenant ! ;p

7 commentaires:

  1. Ce qui m'agace le plus pour ma part, ce sont tous les livres non traduits, ou plus édités en VF. J'ai l'impression que ce sont les éditeurs qui nous disent quoi lire et qu'ils se fichent pas mal de laisser des auteurs dans l'ombre même s'ils savent qu'ils ne méritent pas ce traitement. Souci de rentabilité quand tu nous tiens...

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  2. Mais en France, vous êtes tellement plus gâtés que nous! À chaque visite, je suis épatées par le nombre de librairies: FNAC, Virgin, etc. Les petites librairies indépendantes un peu partout... et vous avez les formats poche bien avant nous! Vous avez aussi beaucoup plus de choix sur www.amazon.fr que nous sur www.amazon.ca où la priorité est aux livres de langue anglaise.

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  3. Oui mais comme j'ai un esprit très contradictoire, y'a jamais les livres que je veux à la librairie...;D J'aime particulièrement la littérature anglaise, et c'est incroyable le nombre d'auteurs inconnus au bataillon même à la Fnac ou sur Amazon.fr . Et quand ils les ont, c'est toujours à prix d'or ! J'ai aussi un faible pour ma bibliothèque qui possède des éditions de 57 avant Jésus-Christ (j'exagère à peine;D)... Quand on y a accès(et il faut batailler très dur), on n'ose même pas tourner les pages tellement c'est vieux...
    De toute façon, le jour où on sera content...

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  4. le jour où nous serons contents... nous ne serons plus en mesure de lire! :-)

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  5. Pour avoir fréquenté les librairies lors de mon séjour au Québec, je suis assez d'accord avec toi : la littérature de langue française y est moins favorisée et, surtout, j'y ai trouvé (dans mon souvenir) les livres de poche bien plus chers qu'en France.

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  6. Tu as tout à fait raison Patricia. J'ai réglé une partie du problème ce weekend en allant dans la librairie de l'université près de chez moi. Une énorme quantité de classiques s'y retrouvait et toute une collection Pocket à 1 euro 90 qui se vend 3,95$ ici. Une aubaine! À Québec même il y a plus de volumes en français qu'en anglais, mais si tu es passée par Montréal il se peut que ce fût l'inverse... Cette ville est beaucoup plus multi-culturel que Québec!

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  7. Pour ma part je commande mes livres sur Internet... je n'habite pas une grande ville (tout juste un petit village) et je n'ai accès qu'à une librairie dans une ville voisine où il n'y a JAMAIS ce que je cherche... J'aime bien acheter des classiques. Impossible d'en trouver. Je ne comprends même pas qu'une librairie n'ai pas Dickens ou Melville en rayon par exemple... Mais bon, ça se vend sûrement moins bien que les best sellers... *soupir*
    Je ne dis pas que je ne lis pas de bestsellers de temps à autre, mais il n'y a pas QUE ça...

    Alors je commande sur le web. Au moins, je trouve ce que je cherche et c'est livré à ma porte.

    Autrement j'ai une petite bouquinerie aussi dans une ville voisine. Petite, mais j'y ai trouvé des trésors en très bon état :)

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