La maison des célibataires, Jorn Riel.

Les copains d'abord... Telle pourrait être la devise de ces cinq célibataires qui ont élu domicile dans une maison abandonnée. Mais ces bons à rien pourront-ils toujours vivre ainsi, de bière, d'amitié et de l'air du temps ? Préoccupé de leurs vieux jours, l'un d'eux a une idée lumineuse : il va épouser la plus célèbre veuve de la région, une marâtre aussi réputée pour ses redoutables colères que pour son riche troupeau de moutons. Mais les amis du jeune fiancé ne l'entendent pas ainsi, et pour le sauver du mariage tout en se ménageant une confortable retraite, ils vont devoir redoubler d'ingéniosité... Une savoureuse histoire de Pieds Nickelés, rapportée avec gourmandise du Groenland par l'ethnographe et explorateur Jorn Riel.

Un court roman sur une bande “d’adolescents” menacés par la petite copine du plus « productif » de la troupe! Kernatoq est le seul à avoir un emploi stable sur un bateau à charbon, mais le jour où il prend en charge l’avenir de la maisonnée vieillissante, il ne trouve qu’une solution, se marier à Bandita! Malheureusement, si tout semble avoir du sens au départ, tous ne sont pas d’accord sur cette célébration. Moses et les autres établieront un plan pour leur retraite (même s’ils ne travaillent pas !) et en bout de ligne nous serons bien heureux qu’ils aient manigancé dans le dos de l’autre… Je ne vous dis pas pourquoi ce serait brûler le « punch » !

Jorn Riel a une descendance canadienne et pas n’importe laquelle : Louis Riel. Encore une fois, grâce à ce club de blogueuses (Sylire), je découvre un auteur à lequel je ne me serais probablement jamais intéressée.