Amérique du Nord, mai 1775. La Province of Quebec vit des heures prospères sous la domination anglaise. Odélie Rousselle, née Beauchêne, revêt des habits masculins et s'enfuit de la maison familiale. À la taverne du Sabot d'argent, elle devient officiellement Charles de Beauchêne, serviteur et secrétaire d'un marchand anglais de Montréal. Elle s'embarque avec lui sur un navire. Intrépide et mystérieux, son patron l'intrigue et l'attire irrésistiblement. Mais jusqu'où peut-elle vivre ses émotions sans révéler sa nature féminine ? Pendant ce temps, Marie de Beauchêne, sa mère, se prépare à défendre Québec menacé par les troupes américaines. Elle s'inquiète de l'avenir de ses enfants et vit intensément les déchirements de son âme, comme ceux de son peuple.
Madame de Beauchêne vient de perdre son beau Capitaine décédé au combat. Puisque son propre père ne va pas bien, elle décide de mettre sa fille Ophélie en pension chez les sœurs à Louisbourg (où se trouve la sœur de son mari défunt) pour se rendre auprès de celui-ci dans un pays chaud. Le soleil n’aura jamais la chance de caresser son teint de porcelaine, car son bateau français sera attaqué par les Britanniques aux États-Unis. Elle finira par se poser à New York pour ensuite fuir vers le Canada et se retrouver au point de départ, soit dans sa « grande maison » à Québec.
De la pure Chick lit historique!!! Avez-vous déjà lu cela? C’est que l’histoire dévoile bien quelques événements historiques, mais c’est surtout sur les charmes et le succès auprès de plusieurs hommes dont il est question dans ce roman. Ne craignez rien, Marie a bonne réputation et n’a rien à se reprocher, c’est une dame respectable, belle, qui sent toujours bon (même à cette époque!)… J’aurais bien aimé être à sa place pour rencontrer autant d’hommes séduisants dans le domaine maritime sur le même continent!!! En nos temps modernes, avec de telles probabilités j’aurais poussé ma chance jusqu’à prendre un billet de loto!
Donc, au final, à ne pas lire pour l’Histoire avec un grand « H », mais pour se divertir. J’achèterai les deux autres tomes, c’est donc dire que l’auteure a gagné mon cœur… Preuve à l’appui, il y a longtemps que j’ai terminé ce livre, et qu’en pleine période d’insomnie, j’arrive à pondre un billet! Fait à mentionner, ce billet clos ma période « lectures québécoises » pour quelques semaines…
Madame de Beauchêne vient de perdre son beau Capitaine décédé au combat. Puisque son propre père ne va pas bien, elle décide de mettre sa fille Ophélie en pension chez les sœurs à Louisbourg (où se trouve la sœur de son mari défunt) pour se rendre auprès de celui-ci dans un pays chaud. Le soleil n’aura jamais la chance de caresser son teint de porcelaine, car son bateau français sera attaqué par les Britanniques aux États-Unis. Elle finira par se poser à New York pour ensuite fuir vers le Canada et se retrouver au point de départ, soit dans sa « grande maison » à Québec.
De la pure Chick lit historique!!! Avez-vous déjà lu cela? C’est que l’histoire dévoile bien quelques événements historiques, mais c’est surtout sur les charmes et le succès auprès de plusieurs hommes dont il est question dans ce roman. Ne craignez rien, Marie a bonne réputation et n’a rien à se reprocher, c’est une dame respectable, belle, qui sent toujours bon (même à cette époque!)… J’aurais bien aimé être à sa place pour rencontrer autant d’hommes séduisants dans le domaine maritime sur le même continent!!! En nos temps modernes, avec de telles probabilités j’aurais poussé ma chance jusqu’à prendre un billet de loto!
Donc, au final, à ne pas lire pour l’Histoire avec un grand « H », mais pour se divertir. J’achèterai les deux autres tomes, c’est donc dire que l’auteure a gagné mon cœur… Preuve à l’appui, il y a longtemps que j’ai terminé ce livre, et qu’en pleine période d’insomnie, j’arrive à pondre un billet! Fait à mentionner, ce billet clos ma période « lectures québécoises » pour quelques semaines…
Lors de mon voyage au Québec il y a quelques années, je les avais repérés, ces livres mais mon homme ne m'avait pas laissée les acheter car on était chargé comme des mules (on avait déjà un énorme sac de sport rempli de livres ... au moins 40 !)
RépondreEffacerJoelle: 40 livres!! Quand je passe par Paris, je me limite à une douzaine de format poche, le poids limite des valises étant très embêtant surtout lorsque le voyage ce poursuit jusqu'en Tunisie!!!
RépondreEffacerHey hey merci Jules, je dépose ton lien. Au rythme que tu as lu québécois dernièrement, je comprends que tu changes un peu sirop. Encore merci de ta participation.
RépondreEffacerSuzanne: j'y prends de plus en plus de plaisir. Qui aura dit cela? :)
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