Une plongée éblouissante dans un New York peuplé de gangsters, de marins, de scaphandriers, durant la Seconde Guerre mondiale. Quand tout changea entre les hommes et les femmes, entre l’Amérique et le monde.
Alors qu’elle a presque douze ans, Anna Kerrigan accompagne son père chez Dexter Styles, un homme qui, comprend-elle, est crucial pour la survie de sa famille. Derrière sa maison, elle aperçoit l’océan, qui l’émerveille autant que le mystère pesant qui lie les deux hommes.
Des années plus tard, son père a disparu, et le pays est en guerre. Anna travaille au chantier naval de Brooklyn, où les femmes effectuent des tâches autrefois réservées aux hommes, désormais au front. Elle devient la première femme scaphandrier ; sa mission essentielle, des plus dangereuses, consiste à réparer les navires qui aideront les États- Unis à remporter la guerre. Un soir, dans un club, elle croise de nouveau le chemin de Dexter Styles, et commence à comprendre la complexité de la vie de son père, ainsi que les possibles raisons de sa disparition.
Des années plus tard, son père a disparu, et le pays est en guerre. Anna travaille au chantier naval de Brooklyn, où les femmes effectuent des tâches autrefois réservées aux hommes, désormais au front. Elle devient la première femme scaphandrier ; sa mission essentielle, des plus dangereuses, consiste à réparer les navires qui aideront les États- Unis à remporter la guerre. Un soir, dans un club, elle croise de nouveau le chemin de Dexter Styles, et commence à comprendre la complexité de la vie de son père, ainsi que les possibles raisons de sa disparition.
J’avais beaucoup d’attente envers ce roman et j’ai été un
peu déçue pour être franche. Tiré d’une
histoire vraie pendant la deuxième guerre mondiale aux États-Unis, ce roman est
une ode au travail des femmes sur les chantiers navals. Je ne sais pas vraiment comment vous en
parler car je suis certaine que ce roman passionnera des milliers de lecteurs
tout comme du côté anglophone. Je pense
que mon avis est strictement basé sur mes propres goûts en matière de lecture.
Je le dis souvent, les romans de guerre ne sont pas ma tasse de thé, mais je m’entête
à vouloir en lire parce que j’ai peur de raté quelque chose. Ici, je voulais lire Jennifer Egan et c’est
le livre que j’avais choisi. L’auteure
aime raconter en détails, elle fait de grands cercles pour nous ramener à un tout
petit point et c’est peut-être cela qui m’a déplu. Elle écrit vraiment bien, mais le rythme lent
m’a empêchée d’apprécier le fond de l’histoire qui est celle d’Anne une jeune
fille à la recherche de son père.
Abandonnée avec sa sœur handicapée et leur mère, elle se doute que son
père, Eddie, trempait dans des histoires pas très propres. Des histoires de syndicats plutôt que de mafia,
mais disons qu’il y a une certaine ressemblance! La pression et la menace sont
dans les deux carnets de commande, n’est-ce pas?
Donc, un plus pour le personnage d’Anne Kerrigan pour son
courage, sa détermination et sa force, J’adore
lire sur un personnage féminin aussi
fort. Un bon bémol sur l’ensemble de l’œuvre
qui ne m’a pas séduite au point où je l’aurais voulu. Pour terminer, une bonne
main d’applaudissement pour avoir ramené une partie importante, mais un peu oublie
de l’histoire américaine. Juste pour ça,
j’aurais voulu aimer un peu plus, par respect.
À lire pour un portrait précis d’une époque avec tout ce que cela
engendre au niveau des mœurs. Très intéressant pour ce volet. C’est assez clair, je suis un peu entre les
deux pour cette lecture. À vous de vous
faire votre propre opinion!
Pour la Grande et la Petite Histoire, alors.
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