Deux vieux amis se retrouvent lors d'une réunion d'anciens camarades de leur école juive où ils furent élèves ensemble. Ayant depuis peu franchi le cap de la quarantaine, Guido, photographe, et Charlie, psychologue, vont s'intéresser à la même femme mariée, la séduisante Aviva, professeur de violoncelle. A l'insu de Guido, dont elle est la maîtresse, Charlie accepte en effet la belle musicienne parmi ses patients. Cette dernière, cependant, ignore tout des liens qui unissent les deux hommes. Dans ce récit d'amour et de désir, au comique volontiers noir, Curt Leviant relate les rapports triangulaires qui s'installent, vus par chacun des trois personnages. À mesure que les complications vont croissant, les trois protagonistes doivent faire face à la jalousie et à la difficulté de garder ses secrets. Dans ce superbe roman, que l'on a le plus grand mal à poser, l'amour et le plaisir sont tour à tour trouvés et perdus et les impasses rebondissent en nouveaux départs. Salué par la critique comme une oeuvre " exquise et enchanteresse ", une oeuvre " d'un brio fascinant ", ce roman illustre toutes les facettes du talent de Leviant.
J'ai lu les 50 premières pages en flèche, c'était prometteur! Puis après, j'ai eu l'impression de lire une suite de fantasmes et de perversions légères... Une psychanalyse du sexe chez divers sujets. Ennui mortel! Page 165, je me désiste. Avec cette couverture, comble du malheur, je ne peux même pas le lire dans l'autobus . Ciao Guido!
7 commentaires:
Psychanalise du sexe... hum... pas sure!!! Dommage, le résumé semblait alléchant... je vais quand même passer mon tour!
Ca ne me dit rien, j'attendais de voir des avis... me voilà servi !!!
C'est vrai qu'il est bien difficile de trimbaler ce livre partout, à moins de le recouvrir !! Mais bof, je passe également mon tour !
Tant mieux, ma LAL apprécie ;-)
Nous pensons sensiblement la même chose de ce livre ma chère Jules
http://archivistedejour.blogspot.com
/2007/10/compte-de-mots-18-octobre.html
Un de mes rares collègues lecteurs m'en avait dit la même chose, dommage pour la couverture !
Pour un homme, c'est parfois rigolo le regard des autres avec une telle couverture ! offusqué, rieur, malicieux, indigné... mais cela gène ma lecture, alors je provoque moins !
Dommage ces réactions devant la couverture, nous sommes pourtant en 2011.
Cela dit d'accord sur le fond et que dire de la pédanterie de l'index qui rend la lecture totalement insupportable.
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