Deux jours après, une alerte AMBER est déclenchée à l’échelle de la province de Québec : une jeune fille dévoilant ses charmes sur Internet a été kidnappée. Par qui ? Pourquoi ?
Deux énigmes que vont s’attacher à résoudre en parallèle deux policiers au style rentre-dedans : Victor Lessard qui, sans compter les cadavres laissés derrière lui, en voit d’autres surgir de son passé, enlaidis par le temps ; et Jacinthe Taillon, son ancienne coéquipière à la Section des crimes majeurs, qui lui voue une haine infernale.
Naviguant à travers le fanatisme religieux et la perversité de démons ordinaires, ils vont s’engager dans une valse à quatre temps diabolique entre Montréal, Sherbrooke, Val-d’Or et… le Vatican.
Jusqu’à découvrir le secret terrifiant de la chorale du diable.
Je m'ennuie trop, je suis de retour... au ralenti, mais présente quand même! Mon blog a eu 5 ans le 24 juillet. Je ne lâche pas, même si parfois le manque de temps jouera sur la qualité de mes billets et sur mon assiduité à répondre aux commentaires. Je ne peux me résoudre à perdre à jamais toutes ces relations virtuelles établies depuis tout ce temps. Voilà, cela étant dit, allons-y à temps partiel ne l'oubliez pas! Merci à tous ceux qui se sont manifestés dans mon dernier billet.
Revenons à Michaud! Définitivement, le livre le plus hard de mon expérience de lectrice! Sexe, violence, sang, religion, pédophilie et meurtres. Me voilà loin de chez moi. Pourtant, j'ai su apprécier le talent de Martin Michaud! Son livre tient la route et n'a probablement rien à envier aux autres dans le même genre. C'est vrai, je me suis enfoncée plusieurs fois, j'ai déposé le livre pour quelque temps, mais j'y suis toujours revenue parce qu'il y a un petit quelque chose qui m'empêchait de laisser de côté ces histoires de drames familiaux et de mouches...
Lessard est un enquêteur redoutable et un brin romantique (drôle de mélange n'est-ce pas?!). Son sang-froid et son audace vous glacent le dos. Ce mec a le coeur solide (plus que moi), un estomac fragile, une détermination sans limite et il ne recule devant rien pour résoudre les meurtres même si son passé le hante à temps plein! D'ailleurs, qu'est devenu Raymond une fois cette enquête terminée?
Bref, une lecture sur une longue période que j'ai apprécié au final.
Merci aux Éditions Goélette pour cet envoi.
Ce livre se qualifie pour le Défi J'aime lire la plume québécoise chez Suzan!
12 commentaires:
Ravie de te lire à nouveau.
Beau billet Jules mais dis-moi, dois-je l'inclure dans «J'aime la plume québécoise»?
Je n'ai pas encore réussi à mettre la main dessus mais je veux le lire prochainement. Mais il est si hard que ça ? Pourtant, il me semble que son premier roman, "Il ne faut pas parler dans l'ascenceur", ne l'était pas.
Je me demandais si tu l'avais abandonné! Contente que tu l'aies aimé, même si ce fut à la petite cuillère! Bien contente aussi de ton retour sur la blogosphère, vas-y à ton rythme surtout! Joyeux bloganniversaire!
Suzanne: mais tout à fait! Désolée de t'avoir oubliée!
Marguerite: je n'ai pas lu le premier, mais pour une fille qui ne lit pas beaucoup de polar, etc. ce livre sortait de ma zone de confort!
Grominou: mais non je l'ai fini!! :) Merci pour les souhaits!
Je l'ai dans ma bibliothèque ! Il est patient, il attend l'humeur adéquate pour le commencer. Tu me donnes l'exemple, ma chère, car ni une ni l'autre, c'est notre tasse de thé ... noir. J'aime y rajouter un nuage de crème ! J'ai lu le premier et me suis attaché à Lessard, alors il faudra que je me salisse les yeux d'un peu de sang pour le retrouver !
Venise: un peu de sucre aussi pour adoucir le tout! Dommage que je commence par le deuxième!
je le note tout de suite !!
Lystig: il faut noter le premier aussi: "Il ne faut pas parler dans l'ascenseur". quelque chose comme ça je ne sais pas si j'ai le titre exacte!
Merci Jules ;-)
Voilà un titre qui me tente bien mais que je crains de ne jamais trouver ici ! Mais je note, on ne sait jamais !
Joelle: s'il sort en poche un jour, je te l'envoie. C'est une bonne brique, je vais me ruiner sinon!
J'aime bien le titre de ce roman, en tout cas...
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