Hervé, sans emploi depuis quelques mois, s'exile en campagne pour devenir libraire suite à une visite au bureau de chômage. À une époque où l'Église veille au bien de la société jusque dans le choix des lectures, Hervé se retrouve en charge du capharnaüm où se cachent les bouquins qui ne doivent pas être entre les mains. Il commettra une grave erreur en vendant un de ces livres à un collégien vouant M. Chicoine, son patron, à une ruine certaine! Hervé n'a rien du libraire traditionnel avec ses 20 verres de bière quotidiens et son manque d'intérêt envers l'objet tant convoité, mais il assure les ventes malgré sa personnalité rigide. J'ai été agréablement surprise par ce livre qui est un classique de la littérature québécoise des années 50-60.
8 commentaires:
Ca me plaît bien ça ! Noté !
Je crois que je m'attendais à autre chose avec ce livre parce que je n'ai teeeellement pas accroché! Les classiques québécois et moi, on est fâchés, je pense...
Vous continuez votre exploration des classiques de la littérature québécoise, et ça va plutôt bien, n'est-ce pas ?
Le thème m'intéresse, je vais voir
Freude: c'est le contexte sociologique de l'époque qui est amusant dans ce livre!! "La grande noirceur"
Karine: pas assez d'action pour toi ma chère!!
Réjean: grâce à vos tuyaux!! :)
Gambadou: ce n'est pas écrit en slang québécois, c'est lisible pour vous de l'autre côté!! :p
Il est déjà sur ma liste, j'en ai entendu tellement entendu parler. Pour certains, c'est de l'ordre du coup de coeur. Aussitôt que je vois Le libraire dans une librairie, je saute dessus !
Venise: je l'ai eu sur commande spéciale à ma librairie...
J'ai ce livre dans ma bibliothèque depuis un siècle au moins ;-) Et grâce à toi, je vais ENFIN le lire ;-)
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