À la fois émouvante réflexion sur l'identité et fine satire de nos mœurs locales, ces nouvelles sont écrites avec une efficacité redoutable. Si parfois vous doutez que Montréal ait une âme, la lecture des Aurores montréales vous rassurera.
Monique Proulx est peut-être arrivée à un mauvais moment dans ma vie, ce qui pourrait peut-être expliquer mon indifférence presque totale face à son recueil de nouvelles… Est-ce que j’étais distraite et peu concentrée par la fatigue accumulée ou est-ce l’écriture de cette auteure qui n’a pas réussi à venir me chercher?! En tout cas, je ne garde aucun souvenir impérissable pour aucune des nouvelles, c’est dire que notre relation lectrice-auteure n’ira pas plus loin. Ses histoires pas très transcendantes sur la ville de Montréal et ses habitants m’ont bien ennuyée pour être très franche. C’est un rendez-vous manqué…
6 commentaires:
Ah ? Ça arrive dans les meilleures familles !
Il faut les affinités. Je vois un peu les livres comme des personnes, une, peut te captiver pendant qu'elle ennuie royalement l'autre.
Maintenant que tu as eu plusieurs coups de coeur québécois, moi, j'ai le coeur au chaud.
Venise: ça me fait plaisir de te rendre heureuse!! :oP
Je me demandais justement si j'allais me lancer dans la lecture de ce recueil. J'ai adoré « Champagne », de la même auteur, mais cette critique me laisse songeur...
Bah, on verra bien! :)
L'Éponge: peut-être que j'aimerais Champagne ne sait-on jamais!!
Ça avait été pareil pour moi. Je n'avais pas du tout accroché à ce recueil. Je ne me rappelle même pas l'avoir terminé...
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