Nur Jahan, l’impératrice dont la beauté éclipse l’éclat du soleil, fascine ses sujets… Un jeune audacieux se risque enfin à contempler sa souveraine, un privilège réservé à son époux, le Grand Moghol Jahangir. Pour restaurer l’honneur bafoué de Nur Jahan, l’empereur dépouillera tous les rosiers d’Ispahan et déposera aux pieds de la femme qu’il adore des myriades de pétales chatoyants en gage d’amour éternel.Forte de cette passion, Nur Jahan ne craint plus personne. Mais le pouvoir de l’impératrice vacille lorsque son mari meurt... Afin de conserver son influence au sein du palais, elle va mettre en avant sa nièce, pour qui un nouvel empereur, fou d’amour, érigera le légendaireTaj Mahal.
-C'est la fin, Mehrunnisa, murmura-t-il. T'en sortiras-tu?
- Oui, dit-elle, après un long silence. Mais tu me manqueras tellement, Seigneur!
- Allons chasser.
À l'image de cet extrait (p.510), le texte manque de chaleur sur toute la ligne! On nous vend le roman comme étant la plus romantique des histoires d'amour, c'est décevant... Le quatrième de couverture ne représente que la fin du livre et les faiblesses se comptent à la douzaine. Pas de réel plaisir à la lecture, car les noms multiples pour chacun des personnages chargent le texte inutilement...
D'un autre coté, le luxe, les tissus, les joyaux de l'Empire et la beauté des femmes du harem y sont très bien mis en lumière. De quoi faire rêver à une vie de château et ses plateaux d'argent...
Un avis ambigu, rien de moins.
4 commentaires:
le Taj Mahal , je me disais bien que cela me disait quelque chose, Jules console toi pendant plusieurs semaines j'ai accumulé les livres bauf et puis le vent à tourné...
j'ai lu le premier tome, La vingtième épouse, que j'avais beaucoup apprécié...
Le thème me tentait beaucoup, cette histoire de Taj Mahal m'a toujours fascinée... mais si ça manque de chaleur pour une histoire d'amour... je pense que je vais passer!
j'ai lu "Le Festin de roses" à la suite de "La Vingtième épouse" et j'ai apprécié l'ensemble.
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