mercredi 21 décembre 2016

Everything everything, Nicola Yoon.

Le plus grand risque dans la vie,
c’est de ne pas en prendre.


« « Everything, everything » est vraiment TOUT : puissant, charmant, déchirant, et si prenant que je l’ai dévoré d’une traite. L’un des rares romans qui vous élèvent, vous brisent et vous nourrissent en même temps. »

Jennifer Niven, auteur de « Tous nos jours parfaits »


Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de « maladie de l’enfant-bulle ». En gros, je suis allergique au monde. Je viens d’avoir dix-huit ans, et je n’ai jamais mis un pied dehors.
Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l’observe, et nos yeux se croisent pour la première fois.
Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre.


Attirée par le succès que remporte cette auteure jamaïcaine, j’ai voulu goûter à la recette miracle.  Loin d’être déçue, je dois dire que je ne me suis pas extasiée devant ce roman.  Il est bien construit afin que le punch de la fin ait un réel impact sur le lecteur.  Disons que j’avais une toute petite idée de ce qui allait se produire, mais je ne sais pas si tous les lecteurs auront la même intuition.  J’ai balancé entre deux options pendant un bon moment, mais je ne vous dirai pas comment…

Maddy est une jeune femme de 18 ans qui tombe subitement amoureuse du nouveau voisin qu’elle a rencontré au travers… de la fenêtre.  Maddy est atteinte du syndrome de l’enfant bulle qui l’empêche d’être en contact avec l’extérieur.  Dans sa condition, le moindre petit virus peut être fatal.  Confinée à la maison depuis son bas âge, elle se contentait de ses cours en ligne et de ses soirées en compagnie de sa maman.   Son père et son frère étant décédés dans un accident tragique, les deux femmes ont développé une relation très forte.  Vous verrez à quel point l’amour d’une mère peut être… ah! non, je dis rien.

Bien que ce roman se classe dans la catégorie « jeunes adultes », c’est une bonne lecture pour un auditoire plus large qui serait à la recherche d’une belle histoire d’amour "à distance" et/ou de relation parent/enfant.

Un autre titre est disponible en anglais seulement The sun is also a star.  Il est sur ma liste à lire!
 

Bayard
ISBN: 9782747052788

4 commentaires:

Karine a dit...

Tiens... je l'ai! Je me promets ça pour le temps des fêtes!

Marguerite a dit...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Marguerite a dit...

C'est chez toi que je découvre les gros succès des États-Unis ! Tu as piqué ma curiosité avec tes phrases non terminées ;)

Karine a dit...

Finalement lu... et comme toi, j'avais ma petite idée! :))