Tsubaki.
Hamaguri.
Tsubame.
Wasurenagusa.
Hotaru.
Une première leçon de Japonais? Non!
Une tentative ratée de Haiku? Non!
Vous avez deviné?
Une cure Aki Shimazaki? Oui!
Je me laisse tenter (indirectement!) par le diable (Un libraire... j'espère qu'il ne m'en voudra pas trop pour ce qualificatif!?) qui affirme, chez une adepte d'écrivains québécois, qu'en lisant Mitsuba (Aki Shimazaki, 2006) nous n'étions pas au bout de notre plaisir! Alors, dans les prochains jours, je vais prendre la "route du plaisir" et ingurgiter l'oeuvre en entier. En espérant que le tout soit à mon goût, sinon je sais où retrouver ses petites cornes fourchues!
7 commentaires:
Tu m'as fait rire Jules et je suis sûre que tu aimeras ces romans ;o)
Je ne connais rien de la littérature japonaise et je le regrette. Alors je note. Il s'appelle comment, déjà???
Hum je commençais déjà à rêver de sushis.
Je pensais que c'est mots étaient des noms de nouvelles créations culinaires.
Bonne lecture, on attend les commentaires ...
Moi aussi, j'aime les sushis et... la littérature japonaise. Je ne connais pas ces romans, j'attends donc tes commentaires avec impatience.
Est-ce de la littérature japonaise ou canadienne ?
Elle est née au Japon, mais écrit en français au canada !
En écrivant ce billet, j'ai eu très envie de sushis moi aussi!
Naniela: Aki Shimazaki
Michel: Tu as tout à fait raison!
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