Paul-Loup Sulitzer est né le 22 juillet 1946. Il est l'auteur de Money, Cash, Fortune, Le Roi vert, et Popov. Ses livres sont des best-sellers dans le monde entier, et notamment aux Etats-Unis. Pologne, 1882. Hannah est juive, elle a sept ans. Dans la chaleur de l'été elle joue avec Taddeuz, un jeune Polonais catholique. Mais dans le village des Cavaliers de la Mort ont déferlé, détruisant, brûlant, assassinant. En ce jour tragique, Hannah va connaître l'amour, le goût amer de la trahison, l'horreur. Londres, 1899. Dans le monde entier, le double H du nom d'Hannah signe des produits de beauté que les femmes s'arrachent. De la petite fille elle a gardé les yeux gris. Mais elle est devenue une femme à la volonté de fer. De son village natal, l'aventure l'a conduite en Australie puis à Londres, Paris, Vienne, dans l'atmosphère brillante de la fin du siècle. Mais plus sa réussite est exceptionnelle, plus Hannah souffre d'avoir perdu Taddeuz... Son don de séduction lui gagne tous ceux qui passent sur son chemin : le rude cocher polonais qui, par amour pour elle, passera dix ans au bagne de Sibérie ; l'Australien fou qui rêve de traverser un continent à pied ; aussi et surtout Taddeuz, ce jeune dieu blond, poète et misérable, qu'elle poursuivra jusqu'au bout du monde pour tenter, peut-être en vain, d'accomplir son rêve d'enfant. Avec HANNAH, Paul-Loup Sulitzer a écrit le grand roman, plein d'aventure et de passion, d'une héroïne inoubliable.
Abandon de lecture p.161. J'aurais voulu aimé ce livre! Pourquoi? Parce qu'il m'a été prêté par une amie française qui vit en Guyane, qui a demandé à soeur habitant près de Paris de l'amener chez ses parents à Ottawa pour qu'elle puisse me l'apporter chez moi à Québec lors de sa prochaine visite. Ça, c'était à la fin de 2007. C'est cette même amie qui nous accompagnait lors de notre pépin-voiture le 31 décembre! Je me sens mal, après tout ceci de lui dire dans quelques semaines, lorsque je lui rendrai ce livre, que je n'ai pu le terminer! Je n'accroche pas. Quand on a pas envie de se replonger dans un livre en rentrant du boulot, c'est mauvais signe... Je suis vraiment désolée K.
Abandon de lecture p.161. J'aurais voulu aimé ce livre! Pourquoi? Parce qu'il m'a été prêté par une amie française qui vit en Guyane, qui a demandé à soeur habitant près de Paris de l'amener chez ses parents à Ottawa pour qu'elle puisse me l'apporter chez moi à Québec lors de sa prochaine visite. Ça, c'était à la fin de 2007. C'est cette même amie qui nous accompagnait lors de notre pépin-voiture le 31 décembre! Je me sens mal, après tout ceci de lui dire dans quelques semaines, lorsque je lui rendrai ce livre, que je n'ai pu le terminer! Je n'accroche pas. Quand on a pas envie de se replonger dans un livre en rentrant du boulot, c'est mauvais signe... Je suis vraiment désolée K.
13 commentaires:
Je trouve Paul-Loup Sulitzer complètement imbuvable!
Avec un peu de diplomatie, tu devrais réussir à ne pas "vexer" ton amie ;-)
Moi aussi je deteste ce type.
Anne et Val: moi je ne le connaissais pas du tout! Il a fait quelque chose de grave? ;)
Pas toujours clair ce Mr : http://www.actustar.com/Star/21712/paul-loup-sulitzer
J'ai fait une erreur pour mon lien ;-))))
Le mieux est de visiter 100% Sulitzer, le seul site à lui être consacré sur Internet : http://paulloupsulitzer.unblog.fr .
Bien à vous.
Je l'ai lu il y a des siècles (je devais avoir 25 ans...) et je me souviens que j'avais adoré, ainsi que la suite L'impératrice, mais bon, Sulitzer restant Sulitzer, c'est plutôt pour le bord de piscine...
j'ai tout lu ça, dans une autre vie, faudrait que je relise, j'ai dû aimé, sinon j'aurais donné ces livres, ils sont dans ma biblio ....
Moi j'ai beaucoup aimée ce livre
J'ai personnellement beaucoup apprécié tous les romans de M. SULITZER que j'ai eu à lire au gré de la fortune (je les trouvais souvent au milieu de la brocante en provenance d'Europe, ou de la friperie). Si les livres en eux-mêmes ne présentaient aucun attrait physique significatif, le contenu était chaque fois époustouflant. Je me souviens comme cela de HH ROURKE, que j'ai tant admiré; de HANNAH qui m'a convaincue que faire fortune n'était pas une question de hasard, et même de M. SULITZER que je rêvais de rencontrer(je ne le savais pas Français).
J'ai eu le luxe de lire HANNAH, L'IMPERATRICE, LA FEMME PRESSEE, KATE, POPOV. M. SULITZER a chaque fois su mieux que quiconque, mieux qu'aucun ouvrage économique susciter en moi le désir de faire fortune. Il m'a fait comprendre que faire fortune à partir de rien était possible. Et aujourd'hui encore je lui donne raison.
A vous M. SULITZER, je vous dis particulièrement merci d'avoir bercé mes rêves.
Toute oeuvre suscitera toujours des commentaires positifs ou négatifs. Il est bien difficile de remporter le crédit universel. Ne vous en formalisez pas.
Ma plus grande joie serai de lire tous vos écrits et de les avoirs dans les rayonnages que je créerai spécialement pour eux.
Beaucoup de courage et que vous ne soyez jamais à court d'inspiration.
MEYAP Florence depuis le Cameroun
ff_meyap@yahoo.fr
J'ai beaucoup aimé Hannah et l'impératrice étant jeune femme ; je les relierais bien volontiers.
Claudia - 45 ans
J'ai lu ce livre et sa suite, empruntés à ma grand-mère, alors que je devais avoir 12 ou 13 ans... Une véritable révélation pour moi, une entrée en lecture. Peu importe le caractère plus ou moins imbu et imbuvable de son auteur, ou le fait qu'il ait recourru à des "nègres" pour écrire ses plus fameux best-sellers (et alors, et si ces nègres écrivent bien ?...). ce qui compte, c'est la rencontre que ce roman a permis entre ce personnage extraordinaire, Hannah, et la jeune fille que j'étais... J'ai gardé depuis, pour ce prénom, un attachement tout particullier et il s'en est fallu de peu pour que ma fille le porte. 25 ans après, je suis presque sûre, si je relisais ce livre, que chaque péripétie vécue et racontée me serait parfaitement connue... Voilà, je suis bibliothécaire, et je dis cela en toute modestie. Je pense qu'il n'y a pas de "mauvais" livre.
Hannah... Dois-je lui rendre hommage, ou rendre hommage à celui qui l'a créé...
Ce petit bout de femme qui m'a transporté là où aucun livre n'avait pu le faire au par avant...
Un ami me l'avait prêté, comme ça, en me disant que j'apprécierai sûrement...
Je n'achéterai sans doute jamais ce livre, car il vie en moi, comme autant d'anecdotes que m'aurai raconté mon ami Sulitzer...
Désolée que tu n'ai pas aimé ce livre...
Misimini
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