"Toujours raide comme un madrier, Françoise se penche à nouveau sur les croquis. Des yeux, elle étudie le pli, le trait esquissé par Amélie, la trace de l'humanité de son fils. Elle se met à pleurer doucement et se détend un peu. Finalement, c'était ce qu'il fallait, saupoudrer un peu de sucre sur la nouvelle."
La marche en forêt, Catherine Leroux. p.104
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