«Je veux mourir là où mes enfants sont heureux», dit Dounia, une Libanaise d'origine installée au Québec. La femme de 75 ans ne sait ni lire ni écrire et ne parle que l'arabe. Avec cette vieille dame attachante, on se laisse bercer par les proverbes libanais, on questionne la vie et la mort, on rit et on pleure.
Après un long séjour à l'étranger, Adèle retrouve son appartement saccagé. C'est une petite fin du monde, car Adèle est... devenue vieille du jour au lendemain, dirait-on. Et ce monde n'est pas pour les vieux, ni pour les désargentés. Mais faut-il pour autant se taire et disparaître?
Deux autres envies nées de ma présence au Club de lecture Les petits papiers qui a eu lieu hier soir!
Aucun commentaire:
Publier un commentaire