The Birth House is the story of Dora Rare, the first daughter to be born in five generations of Rares. As a child in an isolated village in Nova Scotia, she is drawn to Miss Babineau, an outspoken Acadian midwife with a gift for healing. Dora becomes Miss B.’s apprentice, and together they help the women of Scots Bay through infertility, difficult labours, breech births, unwanted pregnancies and even unfulfilling sex lives. Filled with details as compelling as they are surprising, The Birth House is an unforgettable tale of the struggles women have faced to have control of their own bodies and to keep the best parts of tradition alive in the world of modern medicine.
Mis en présentoir à sa sortie en "paperback" dans la seule librairie anglophone que je fréquente, j'ai été attirée par sa couverture (quelle surprise!). Cette fois-ci, à ma défense, je peux dire que le titre faisait étalage d'un sujet qui me plaît depuis que je suis mère: la maternité. Pour finir, Nova Scotia et 10.99$ ont eu raison de ma bonne conscience... Voilà l'origine de ce livre dans ma PAL.
Premier roman de cette américaine vivant au Canada, The birth house se déroule dans la première portion du 20ième siècle où l'électricité n'éclaire encore personne, où les femmes travaillent comme des boeufs et où la guerre prend les hommes et détruit les familles. Dora Rare est née fille dans une famille qui ne produit que des garçons depuis des siècles. Ses traits d'ancêtres amérindiens étant un peu trop prononcés au goût des habitants de Scots Bay et sa mère la croyant destinée à une vie de célibat va la confier à la sage-femme du village. Miss B. lui apprendra les rudiments du métier tout en l'hébergeant. Dora est romantique, imagine l'amour comme dans ses romans (mais oui, elle adore lire! Une raison de plus pour aimer ce personnage!!!), mais vivera tout le contraire avec le beau Archer après avoir accepté sa proposition de mariage. Alcoolique, paresseux et rêveur, il prendra la poudre d'escampette assez régulièrement, laissant Dora sans enfant et sans homme pour s'occuper de la maison. Malgré tout, elle réussit à se changer les idées en accouchant les femmes du village tout en tenant tête au Dr.Thomas qui fait tout son possible pour lui mettre les bâtons dans les roues en prenant l'ouverture de sa maternité aseptisée comme arme principale. Un gros défi pour une si jeune femme... En 404 pages, nous avons l'occasion de partager ses aventures, ses périples, ses joies et ses peines.
Le journal intime de Dora, des publicités, des invitations, un herbier, des notes de l'auteur, des recettes, un extrait du prochain roman (The virgin cure), une entrevue avec la créatrice de la couverture et des coupures de presse d'époque complètent ce roman. Voilà un livre bien rempli publié en 2006 et qui me fait presque regretté de ne pas l'avoir connu avant! Un livre chouchou, un coup de coeur d'auteur et croyez-moi que je serai à La maison anglaise pour la sortie "paperback" de The virgin cure prévue pour le 26 juin prochain!
Le site d'Ami Mckay.
2 commentaires:
ça m'a l'air super tip top ! Sauf que moi et l'anglais ! Je le comprends bien mais mes lectures dans cette langue ont tendance à être trèèès longues. J'espère qu'il sortira en français.
Miss: j'ai trouvé ce livre assez original en effet!
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